Avant de signer un contrat d’assurance décès, il est essentiel d’examiner certains points dits incontournables. Petite revue des éléments à examiner.
La souscription du contrat
L’âge de la souscription joue un rôle important. En effet, plus vous êtes jeune, moins les cotisations seront élevées. En tardant, elles risquent d’avoir un coût important sur votre budget.
Ainsi, pour disposer d’un capital avantageux et ne pas payer trop cher, la souscription doit se faire jeune et pour une longue durée.
Attention, la souscription à une assurance décès ne peut être effectuée au-delà d’un certain âge. En règle générale, pas au-delà de 70 ans.
Date d’expiration de la protection de l’assurance décès
Rappelons que le contrat d’assurance décès a la caractéristique d’être une assurance à fonds perdus et temporaire. Ce qui signifie que si le décès ou l’invalidité n’a pas eu lieu durant la période de couverture de l’assurance décès, les cotisations ne pourront être récupérées. Il est ainsi important de bien examiner la date d’expiration du contrat.
Bien choisir son versement
Au moment de la souscription du contrat, le souscripteur doit choisir le type de versement du capital aux bénéficiaires désignés.
Il peut s’agir d’un versement unique ou d’un versement temporaire (versement mensuel) ou à vie (on parle de rente viagère).
Lors d’un décès ou d’un grave accident, la famille a besoin de temps pour se remettre financièrement (en général, une année). Durant cette période, elle a besoin entre 20 000 à 100 000 euros.
Les causes qui déclenchent l’assurance décès
Au moment de la souscription, il faut bien examiner les cas qui permettent le déclenchement du versement du capital. Par exemple, le décès suite à un suicide, à une maladie, à la pratique d’une activité sportive extrême ….